Un échantillon d’eau, une poignée de terre ou une masse d’air suffiront bientôt pour déterminer quels animaux vivent dans un écosystème. Une méthode rapide, fiable et non invasive qui aidera notamment à protéger les espèces rares. 

Il n’existe présentement aucun protocole standardisé dans le monde. Le Canada est donc le leader !

Valérie Langlois, Project Shared Co-Leader, INRS